Dixit est proposé sous forme de licence annuelle, à partir de 5 400 €. La tarification dépend du niveau de licence (Essentiel ou Pro), du nombre d’utilisateurs et des conditions de déploiement.
Dans tous les cas, la licence inclut la formation, le support, les exports et des alertes illimitées, ainsi que la possibilité de changer d’utilisateur en cours d’année.
La bonne question n’est donc pas « est-ce cher ? », mais plutôt : dans quels cas un outil comme Dixit devient-il rentable et à partir de quand devient-il difficile de s’en passer ?
Cet article s’adresse aux équipes affaires publiques, fédérations, cabinets et directions corporate qui arbitrent entre une veille réalisée de manière artisanale et un outillage plus structurant.
Le coût réel d’une veille parlementaire ne se voit pas dans la ligne “outils”
Lorsqu’une organisation réalise sa veille parlementaire sans solution dédiée, elle supporte en réalité plusieurs coûts, rarement visibles dans un budget, mais omniprésents au quotidien.
Ces coûts se répartissent en cinq postes principaux : la collecte, le tri, le reporting, la coordination et le risque de rater une fenêtre d’action.
La collecte : Aller chercher l’information, partout et en continu
Avant même d'analyser l'information, il faut la collecter : identifier les bonnes sources, suivre les bons liens, récupérer les documents, vérifier les mises à jour, reconstituer un fil chronologique et s’assurer qu’aucune pièce importante n’a été manquée.
Ce travail est rarement formalisé. Il se fait en continu. Pourtant, il consomme beaucoup d’attention, crée une fatigue opérationnelle et génère mécaniquement des angles morts dès que la charge augmente, notamment pendant les séquences parlementaires denses. Ou pendant les vacances.
Le tri : Réduire le bruit pour extraire ce qui est réellement utile
Une fois l’information collectée, il faut la filtrer, qualifier, et la prioriser. Dans de nombreuses organisations, cela représente au minimum une heure par jour, et souvent davantage lors des périodes d’intensité législative.
Sans outillage, ce tri repose sur des arbitrages individuels, peu traçables et difficilement partageables.
Le reporting : Quand la mise en forme prend le pas sur l’analyse
Cabinets, fédérations et entreprises ont un point commun : la production régulière de livrables.
Synthèses internes, notes pour les adhérents, briefings de direction, points rapides en période sensible.
Sans outil, le reporting devient chronophage. Le temps consacré à la mise en forme finit par dépasser celui dédié à l’analyse ou à la décision.
C’est également la partie la plus visible du travail, donc celle qui concentre le plus de pression interne.
La coordination : Partager la même information, au même moment
Une veille n’est réellement utile que si elle est partagée et exploitable collectivement : mêmes informations, mêmes priorités, mêmes formats.
Lorsque la coordination repose sur des échanges d’emails et des fichiers, la charge augmente rapidement : demandes répétées, versions multiples, allers-retours peu productifs.
Le coût n’est pas uniquement du temps, mais une perte de fluidité collective.
Le risque le plus coûteux : Identifier un élément trop tard
Le scénario le plus fréquent n’est pas de ne rien voir, mais de voir trop tard. Une deadline d’amendement repérée après coup, une audition identifiée trop tard pour agir utilement, une séquence sous-estimée.
Dans ces situations, la perte n’est pas uniquement du temps. C’est une opportunité qui se ferme.
Ce que vous achetez réellement avec Dixit : des livrables exploitables rapidement
Un outil de veille n’a de valeur que s’il transforme l’information en action.
Un exemple qui a souvent convaincu nos interlocuteurs lors de nos échanges : la capacité à produire des relevés d’amendements propres, exploitables et partageables en quelques minutes.
Cette capacité permet de remplacer du temps de collecte dispersée, du tri manuel, des copier-coller et de la mise en forme.
Elle permet également de standardiser un livrable central du travail parlementaire, au lieu de le reconstruire à chaque séquence. En couplant les meilleures pratiques avec la puissance de la tech et de l'IA, Dixit propose de nouvelles normes opérationnelles.
Trois scénarios de rentabilité (hypothèses prudentes)
Les scénarios ci-dessous ne sont pas des promesses commerciales. Ils donnent des ordres de grandeur raisonnables pour éclairer une décision.
Hypothèses de base
Les utilisateurs sont souvent des profils junior ou intermédiaires, avec des rémunérations annuelles brutes chargées comprise entre 50 000 et 70 000 €.
Le temps consacré à la veille et à la production de livrables est d’au moins une heure par jour.
Le raisonnement porte uniquement sur des heures réellement économisées, sans intégrer des bénéfices plus difficiles à chiffrer comme la fiabilité.
Scénario 1 : le temps économisé
Supposons que Dixit permette de gagner environ trois heures par semaine grâce à une information centralisée, des alertes ciblées et des exports immédiatement exploitables.
Sur une année de travail, le volume d’heures économisées devient significatif.
Dans de nombreuses équipes, cela suffit à rendre le coût de la licence rationnel, tout en libérant du temps pour l’analyse, la coordination, les rendez-vous et la stratégie.
Scénario 2 - Fédération : servir les adhérents sans augmenter la charge de production
Dans une fédération, l’outil devient rentable dès lors qu’il permet de produire des synthèses régulières, de réagir rapidement pendant les séquences parlementaires et d’envoyer des livrables propres sans surcharge opérationnelle.
Le bénéfice est à la fois productif et qualitatif.
L’outil permet de délivrer un service structuré et lisible aux adhérents, avec des contenus réutilisables.
Scénario 3 - Entreprise : sécuriser les séquences et limiter les retards
Dans un contexte corporate, l’enjeu est souvent double : réduire le temps consacré à la consolidation et au reporting, et diminuer la probabilité de découvrir trop tard un élément structurant.
Une seule séquence mal anticipée aura des conséquences économiques beaucoup plus importantes que le coût d'une solution, non pas en heures, mais en arbitrages tardifs et en perte de marge de manœuvre.
Essentiel ou Pro : comment choisir
Licence Essentiel
La licence Essentiel couvre un usage veille et livrables.
Elle permet de centraliser l’information, de suivre les textes et les séquences, de recevoir des alertes ciblées et de produire des exports exploitables, notamment les relevés d’amendements.
Elle correspond généralement à la majorité des besoins opérationnels quotidiens.
C’est un socle adapté pour structurer la veille et fiabiliser les livrables, sans alourdir les processus.
Licence Pro (Essentiel + module Stratégie)
La licence Pro inclut l’ensemble des fonctionnalités d’Essentiel et ajoute un module Stratégie, orienté vers l’analyse et la visualisation.
Ce module permet notamment :
d’identifier rapidement les parlementaires engagés sur un sujet et ceux qui pourraient l’être
d’analyser l’activité parlementaire par filtres
de produire des visuels clairs pour expliciter des stratégies d’influence
Les visualisations sont exportables en marque blanche et intégrables directement dans des documents internes ou externes.
L’outil reste simple d’utilisation et accessible à des profils non spécialistes de la data.
En résumé, Essentiel structure la veille et les livrables.
Pro devient pertinent lorsque l’enjeu est aussi de structurer, démontrer et faire adhérer autour d’une stratégie d’influence.
FAQ
Combien ça coûte ?
Dixit est proposé sous forme de licence annuelle, à partir de 5 400 €. Le montant dépend du niveau de licence, du nombre d’utilisateurs et des modalités de déploiement.
Combien de temps pour être opérationnel ?
L’objectif est d’être utile rapidement, sans projet lourd. La mise en place consiste essentiellement à organiser une formation lors de laquelle vous pourrez définir le périmètre de veille et paramétrer vos alertes. Vous serez opérationnel à 80% dès la fin de la formation. Pour le reste, c'est en forgeant qu'on devient forgeron.
Peut-on commencer progressivement ?
Oui. Il est courant de démarrer avec les cas d’usage les plus rentables, puis d’élargir ensuite.
Pourquoi deux niveaux de licence ?
Parce que toutes les organisations n’ont ni le même besoin, ni la même maturité. Essentiel structure la veille. Pro ajoute une couche d’analyse et de visualisation stratégique.
Que se passe-t-il si l’utilisateur change en cours d’année ?
La licence s’adapte aux évolutions internes. L’utilisateur peut être modifié en cours d'abonnement.
Pourquoi payer un abonnement plutôt que tout faire à la main ?
Parce que la veille manuelle a déjà un coût réel : collecte, tri, reporting, coordination et risque de retard. L’abonnement vise à apporter de la robustesse et de la réactivité, notamment pendant les séquences parlementaires intenses.
Prochaine étape
Si vous souhaitez comprendre s’il s'agit du bon moment pour s'outiller pour votre organisation, vous pouvez réserver une démonstration via le gros bouton jaune "Demander une démo".
A cette occasion, nous pourrons voir concrètement les relevés d’amendements et vérifier si votre organisation relève plutôt de la licence Essentiel ou Pro.



